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Essais

Dernier inventaire avant liquidation – Frédéric Beigbeder (2001)

Dernier inventaire avant liquidation – Frédéric Beigbeder (2001)

A l’aube du 21ème siècles, Frédéric Beigbeder nous aide à faire le point sur la production littéraire du siècle dernier. Le choix n’est pas personnel, mais démocratique. Démocratique, car voté par des milliers de lecteurs anonymes, même si un biais demeure, comme l’échantillon des 6,000 livres

Pourquoi lire ? – Charles Dantzig (2010)

Pourquoi lire ? – Charles Dantzig (2010)

Vous me connaissez bien, je n’ai pas vraiment besoin que l’on me donne de nouvelles raisons de lire, mais si cela vient de Charles Dantzig, je suis tout ouïe. Dans ce bref essai, un des derniers fervents défenseurs des mots nous exhorte de sortir un livre et de

Un lieu à soi – Virginia Woolf (1929)

Un lieu à soi – Virginia Woolf (1929)

Dans un podcast de de France Inter, Maylis de Kerangal nous parle de ses habitudes et méthodes d’écritures. Elle imagine et écrit tous ses romans dans une petite chambre de bonne. Un lieu où elle est libre de penser, dormir, réfléchir, écrire. Un lieu où elle peut fumer à

Il n’y a pas de Ajar – Delphine Horvilleur (2022)

Il n’y a pas de Ajar – Delphine Horvilleur (2022)

La question de l’identité est au cœur de l’œuvre et de la vie de Romain Gary. Tout au long de ses aventures, réelles ou contées – est-ce important ? – Gary est insaisissable. Il est lui-même multiple : émigré polonais, français, américain, grand écrivain, héros de guerre, diplomate, Don Juan. Même son

Sommes-nous ce que nous lisons ? – George Orwell (1936-1946)

Sommes-nous ce que nous lisons ? – George Orwell (1936-1946)

J’adore les essais des grands écrivains, et j’affectionne tout particulièrement l’intelligence de ceux de George Orwell, ce géant de la littérature anglo-saxonne. Cette petite collection de quatre essais sur la littérature et la lecture est parfaite pour le goûter, à savourer avec un petit thé et des

King Kong Théorie – Virginie Despentes

King Kong Théorie – Virginie Despentes

« J’écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les hystériques, les tarées, toute les exclues du marché de la bonne meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne m’excuse de rien,