Le Point Littéraire #46
Salut à tous,
Je suis en train de découvrir la plume de Yukio Mishima et je pense que je vais vite me donner la mission de lire sa bibliographie entière. J'ai aussi reçu beaucoup de retour positifs sur ma première vidéo YouTube, donc c'est un plaisir de vous présenter la seconde aujourd'hui. Cette semaine j'ai aussi évidemment vu le dernier film sur Romain Gary, "l'Enchanteur", dont je vous parle plus bas dans cette vidéo.
Bonne lecture à tous.
Choisir un livre dans une librairie : Un guide en 5 points clés
Dans une librairie, chaque étagère, chaque livre détient une promesse d'aventure, de savoir, ou d'évasion. Pourtant, cette abondance peut rendre la sélection d'un livre parfois intimidante. Comment naviguer dans cet océan pour trouver la perle rare qui résonnera avec nos attentes et nos désirs du moment ? Comme je sais que certains d'entre vous sont parfois un peu perdus, voici quelques conseils pour apprendre à se repérer.
Martin
La dernière chronique
La vraie vie de Sebastian Knight – Vladimir Nabokov (1941)
À la mort de Sebastian Knight, l’écrivain de renom, son frère décide d’écrire sa biographie pour contrer une très mauvaise version écrite par un certain Mr. Goodman. Il s’agira de démêler le vrai du faux, puisant dans une existence chaotique et des traces lacunaires. Qui était vraiment cet homme ? Un auteur de génie ? Un bourreau des cœurs ? Un homme malade ?
MartinLe Point cinéma : L'Enchateur
J'étais emballé à l'idée de voir le nouveau biopic sur Romain Gary, un géant littéraire dont la vie et l'œuvre ne nécessitent plus d'éloges. On parle ici de l'astucieux subterfuge de Gary écrivant sous le pseudonyme Émile Ajar, une manœuvre qui le conduit à un succès critique renouvelé malgré une presse antérieurement désenchantée par ses sujets de vieillissement. Le film n'a pas su pleinement saisir la complexité émotionnelle de Gary, bien que la performance de Charles Berling en tant que Gary fut remarquablement authentique. Cependant, le jeu de Claire de la rue du Can, interprétant Adèle, ainsi que quelques autres choix de casting, notamment Miranda Raison en Jean Seberg, ont dilué l'impact du film. Cet hommage à Gary m'a plus mais je pense qu'avec un meilleur casting, il aurait pu être mémorable.
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Citation de la semaine
Il m'a expliqué en souriant que rien n'est blanc ou noir et que le blanc, c'est souvent le noir qui se cache et le noir, c'est parfois le blanc qui s'est fait avoir.
– Romain Gary
Merci de m'avoir lu ! Je vous souhaite de belles lectures et de belles découvertes culturelles jusqu'à la semaine prochaine.
À vos livres,
– Martin
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