Subscribe

Martin

Le dernier des mocassins – Charles Plymell (1971)

Le dernier des mocassins – Charles Plymell (1971)

Jack Kerouac bis, Charles Plymell a, lui aussi, passé sa vie à sillonner la route 66. Il a enchaîné toutes sortes de métiers incongrus, travaillant dans les champs, sur les chemins de fer. Il a été tantôt cueilleur de houblon, tantôt dynamiteur de montagne. Il faut ce qu’il faut

Avers, Des nouvelles des indésirables – J.M.G. Le Clézio (2023)

Avers, Des nouvelles des indésirables – J.M.G. Le Clézio (2023)

Dans ce recueil de huit nouvelles, J.M.G. le Clézio explore les vies et les morts des personnes qu'il qualifie d'indésirables, un terme qui souligne la dureté de l'exclusion, de la guerre, des viols et des espoirs brisés. Il met la lumière précisément

Trois gouttes de sang – Sadeq Hedayât (1932)

Trois gouttes de sang – Sadeq Hedayât (1932)

Sadeq Hedayât est un auteur méconnu. À tort, car il est sans doute le meilleur écrivain iranien du 20ème siècle. Né à Téhéran en 1903, il se suicide à Paris en 1951. Ayant fait ses études en France, quelque peu occidentalisé, il n’a jamais pu se sentir à nouveau

Darkness at noon – Arthur Koestler (1940)

Darkness at noon – Arthur Koestler (1940)

Un roman que j’ai trouvé totalement au hasard, appelé par sa couverture intrigante. Coincé entre deux volumes gris, il m’appelait. Le haut gradé Rubashov est arrêté au milieu de la nuit. Le parti estime qu’il ne sert plus les valeurs du pays. C’est un défaillant. Et

Rue des Voleurs – Mathias Énard (2014)

Rue des Voleurs – Mathias Énard (2014)

C’est l’histoire d’un jeune Marocain de Tanger qui rêve de liberté, de littérature et de l’Europe. Il se voit déjà vivre dans une société plus ouverte et libertaire. Au lycée, il dévore les romans de Série Noir, où il peut voir des bandits et des mystères,

Le Magasin des Suicides – Jean Teulé (2008)

Le Magasin des Suicides – Jean Teulé (2008)

Vous avez raté votre vie ? Avec nous, vous réussirez votre mort ! Quel joyeux slogan que l’on peut lire sur l’enseigne du Magasin des Suicides. Et pourtant, pas une trace d’ironie dans cette phrase : c’est bel et bien un enseigne qui offre la mort à ses clients,